Qu'une lycéenne tombe amoureuse de son professeur de philosophie, rien de plus normal. Que celui-ci lui fasse découvrir des domaines inconnus, des territoires en friche, fait partie de l'expérience. Mais que derrière l'homme brillant se profile une nouvelle silhouette, voilà qui est moins banal. Surtout si cette silhouette est féminine...

Sonia aime Olivier. Pour lui, elle plonge dans le monde ambivalent de la soumission consentie. Pour lui ? Sans doute. Mais elle en retire un plaisir trop vif pour qu'on ne la soupçonne pas de se dissimuler derrière un masque. Masque qu'elle affectionne puisqu'il lui permet de cacher la honte en l'exposant sans vergogne. Le stratagème est vieux comme le monde. De celui qui dit "je ne veux pas voir ça" et qui met sa main devant ses yeux. En écartant bien les doigts...

Un accident stupide fait une veuve et une orpheline. Quoi de plus naturel si elles se consolent mutuellement ? Surtout que la veuve a un tempérament inflammable et l'orpheline est dominatrice. Seulement, il existe certaines situations où la présence d'un homme peut se révéler bien utile...

Les prédateurs traquent parfois leurs proies en couple. Les femelles ne font pas autrement. Un ballet de séduction se met en place pour que la victime, fascinée et consentante, se jette d'elle-même dans la nasse. Elle y découvre un plaisir qu'elle n'aurait pas osé avouer. La jouissance de prendre est-elle plus grande que la jouissance de donner ?